Valorant toujours en beta test ne reste pas non plus exempt de tricheurs, les éditeurs passe à la riposte ! C’est venu comme ça devait arriver: Valorant doit aussi se battre avec les tricheurs. Le développeur a déjà banni des premières versions de cheats. Riot Games veut garder le jeu à l’abri des cheaters et est confiant dans le fait qu’il peut réussir à le faire. Paul Chamberlain – programmeur et chef du département anti-triche développement – commente la situation sur Twitter. Il espérait qu’ils auraient un peu plus de temps avant que cela ne commence. Mais maintenant, le combat a commencé. Il se voit à la hauteur et dit: “Nous sommes prêts”.
Well it sucks, but today we had to ban our first cheater (and it looks like more bans are on the horizon).
I was hoping for a little more time before this fight kicked off but we’re in it now and we’re ready.— Paul Chamberlain (@arkem) April 9, 2020
Eh bien, ça craint, mais aujourd’hui, nous avons dû bannir notre premier tricheur (et il semble que d’autres interdictions se profilent à l’horizon). J’espérais un peu plus de temps avant le début de ce combat, mais nous y sommes maintenant et nous sommes prêts.
Comment fonctionne l’anti-triche de Valorant?
Valorant ne s’appuie pas sur des outils bien connus tels que Battleye ou EAC, mais utilise sa propre création appelée Vanguard. Bien qu’il ait été développé spécifiquement pour le nouveau jeu de tir en ligne, il devrait également fonctionner de manière indépendante et peut donc être intégré à d’autres titres. L’outil de Riot bloque automatiquement les fraudeurs qui utilisent des tricheurs connus. Le développeur utilise également ces données pour former Vanguard et pour reconnaître des aimbots inconnus et similaires. Une IA sera ensuite utilisée pour cela.
La solution anti-triche de Riot peut fonctionner de manière totalement autonome. Néanmoins, vous voulez toujours avoir une composante humaine dans le processus d’interdiction. Parce que l’outil pourrait à tout moment bloquer à tort un joueur légitime, on imagine un système.
